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C'est bien plus joli que toutes les horreurs de Halloween 

Les carnavals pointent leur nez et  les enfants se réjouissent d'être de la fête. Ils adorent se maquiller et se déguiser: collaborez avec eux pour leur plus grande joie... qui sera aussi la vôtre !

1. Je tiens compte des envies de mon enfant

Certains enfants ont une idée bien précise du type de maquillage qu’ils veulent. Inutile de réaliser un superbe maquillage de princesse à une petite fille qui attend un maquillage de sorcière ! Je commence donc par demander à mon enfant quel maquillage il souhaite. Je lui demande quelles sont ses préférences pour les couleurs, s’il veut des paillettes

…

2. Je pars avec un modèle de maquillage en tête

Sur internet ou dans des livres spécialisés, je trouve un modèle ou une image claire du maquillage que je souhaite réaliser. Je ne laisse pas de place à l’improvisation car l’impatience de mon enfant ne me laissera pas recommencer le maquillage plusieurs fois ! Une fois le modèle bien en tête, je pourrai toutefois adapter les couleurs et ajouter des éléments.

3. J’achète ma palette de maquillage chez Trafic parce que c’est moins cher

Je trouve l’assortiment complet en maquillage ici.

4. Je tiens compte de la patience de mon enfant

Les enfants adorent se maquiller mais ils n’ont pas tous la même patience ! Je tiens donc compte de la personnalité et du degré de patience de mon enfant avant de choisir un maquillage.

5. J’adapte le maquillage choisi à l’âge de mon enfant

S’il est plus jeune, j’opte pour un maquillage léger. Je préfère une couleur appliquée en transparence plutôt que de masquer totalement sa peau. J’étale et j’étends la couleur de base avec les doigts vers l’extérieur du visage et la racine des cheveux. Qu’importe que certaines zones soient sans maquillage comme le raz des cheveux.

6. J’adapte le maquillage à mes capacités de maquilleur !

Tout le monde n’a pas la même dextérité pour réaliser un maquillage. Je n’hésite pas à simplifier le maquillage en fonction de ce que je me sens capable de faire. Mieux vaut un maquillage plus simple et peut-être plus enfantin qu’un maquillage raté et à refaire.

7. Je préviens mon enfant que le maquillage ne sera pas identique au modèle

Je prends les devants en prévenant mon enfant que son maquillage ne sera pas exactement le même que celui du modèle. Prévenir avant de maquiller me permettra d’éviter une éventuelle déception de mon enfant. Même si je fais de mon mieux, le visage de chaque enfant est différent, et le résultat ne sera pas identique.

8. Je n’hésite pas à m’entraîner sur papier avant le jour J

Si je doute de moi, je m’entraîne à dessiner les grands traits du maquillage sur une feuille de papier. Lors de ces entraînements, j’utilise le maquillage et le pinceau que j’utiliserai le jour J pour maquiller mon enfant.

9. Je pense à l’emplacement des couleurs claires avant de commencer

Nous avons tous un jour commis l’erreur d’étaler une couche de noir sur l’ensemble du visage puis de se demander comment mettre du blanc par dessus sans que les couleurs se mélangent ! La solution pour un maquillage réussit est soit de commencer par les couleurs claires et d’appliquer après les couleurs sombres, soit de laisser des espaces de peau vierge pour y appliquer ensuite les couleurs claires.

      Le plus célèbre des pharaons est là !

L'exposition Toutankhamon va attirer 300.000 visiteurs à Bruxelles

(15/11/2011)

© Olivier Pirard

Halloween n'est pas apprécié par tout le monde, même si les commerçants y trouvent bnnes affaires à réaliser avant les fêtes de fin d'année.

Dans plusieurs pays ne célébrant traditionnellement pas l'Halloween, son introduction a suscité une opposition plus ou moins forte. Certaines voix se sont élevées pour dénoncer une américanisationcroissante du monde, ou pour craindre que les fêtes religieuses autour du 31 octobre, comme laToussaint, ne soient balayées par cette fête.

Hallowe'en at Merryvale par Alice Hale Burnett

En France, La Rommelbootzennaat (nuit des betteraves grimaçantes en Francique Lorrain) est une tradition célébrée la veille de la Toussaint essentiellement dans le Pays de Nied en Lorraine, issue d'une ancienne fête d'origine celtique. Cette tradition s'est maintenue en Lorraine germanophone lorsque la langue et les traditions celtiques ont été éclipsées par la culture germanique¹⁴.
La veille de la Toussaint, les enfants sculptent des têtes grimaçantes dans des betteraves, légumes dont la récolte marque la fin des travaux des champs. Éclairées par la lumière d'une bougie, les têtes sont déposées sur les rebords de fenêtres, des puits, les murs des cimetières ou aux croisements des chemins pour effrayer les passants.

D'autre part, Halloween était surtout célébré dans les familles ou regroupements anglo-saxons, mais aucun distributeur n'osait commercialiser la fête à grande échelle. Tout change en1997^{20[réf. insuffisante]}, lorsque l'opérateur téléphonique France Telecom lance un téléphone mobile de couleur orange baptisé « Olaween »²¹. Une importante campagne publicitaire (8 000 citrouilles sont distribuées au Trocadéro), associée à d'autres initiatives commerciales (comprenant des événements spécifiques au sein du parc à thèmes de Disneyland Paris) donne à cette fête une visibilité médiatique instantanée. La Salsa du démon est rééditée en version remixée. Dès 1998, Halloween est adoptée par les commerçants et certains médias, la fête tombant juste au moment de la "période creuse" avant les fêtes de Noël.

Rapidement, cette importation (notamment dans la grande distribution) est critiquée en la dénonçant comme du marketing visant à faire plus de profit auprès des jeunes consommateurs (confiseries, jouets, masques et costumes...). Néanmoins, la fête s'impose en France en moins de quatre ans comme la troisième fête commerciale de l'année, juste derrière Noël et le jour de l'an^{22[réf. insuffisante]}.

Mais dès 2006, de nombreux médias comme L'Express²³ et 20 minutes²⁴ font état d'un désintérêt progressif des Français pour Halloween. La pure logique commerciale et la survente médiatique de la fête en France sont mises en avant pour expliquer ce rapide retour de balancier. Halloween a aussi beaucoup souffert de vives oppositions politiques ou religieuses, la fête entrant en concurrence avec la Toussaint (le 1^er novembre) et la fête des morts (le 2 novembre).

L'Église catholique romaine aurait constaté qu'une population non chrétienne s'intéresse au sens de la mort avec Halloween. Pour rappeler le sens de la Toussaint catholique, le diocèse de Paris a instauré, depuis 2002, une manifestation festive baptisée, en anglais approximatif (et ce pour créer un jeu de mot en opposition à Halloween), « Holy wins » (possiblement traduit par « ce qui est saint est victorieux »). Des centaines de personnes y participent chaque année.

Une étude du Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (CREDOC), commandée par la Chambre syndicale nationale des arts funéraires et datée de 2005, fait apparaître en parallèle une récente augmentation du succès commercial de la fête de la Toussaint. Au mois d'octobre, les confiseurs vendent leurs bonbons en indice 130 contre 100 les autres mois^{[réf. nécessaire]}, ce qui montre bien le succès de la fête, du point de vue des confiseurs tout du moins. D'après le directeur du Crédoc même, « le chiffre d’affaires de la fête d’Halloween en France n’a jamais dépassé celui des fleuristes pour la Toussaint ».

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